Besoin d’en parler ?

Nous pouvons être tiraillé par des questions que l’on peut se poser au féminin ou au masculin, au présent ou au passé, et que l’on ne sait pas toujours à qui partager.

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« Ce n’était pas le moment, cela ne faisait pas longtemps qu’on était ensemble, j’étais encore jeune, il/elle n’en voulait pas, j’étais terrifié(e), j’ai eu peur de la réaction de mes parents, pourtant on travaillait tous les deux, je ne me sentais pas prête, il n’était pas désiré, j’aurais bien voulu le garder mais cela aurait été trop dur, il m’avait quitté, elle n’en voulait pas, j’étais seule, on n’avait pas fini nos études, je ne me sentais pas soutenu(e), on m’avait dit que ce n’était rien, Je n’avais pas les moyens, j’étais sûr(e) de ma décision… »

Il existe des professionnels de l’écoute (conseillères conjugales, psychologues) qui peuvent vous aider à mettre des mots sur ce que nous éprouvons.

Par ailleurs, un certain nombre d’associations soutiennent les femmes et les hommes qui sont confrontés à une grossesse imprévue en leur proposant des alternatives à l’avortement, viennent en aide à celles qui ont fait le choix de garder l’enfant et à celles qui souffrent des conséquences de l’avortement.